Date de création : 05.11.2009
Dernière mise à jour :
21.09.2014
2166 articles
ue bonne adresse sweetweed@yopm ail.com
Par skinup26, le 22.10.2014
mort de rire....excell ent.
bon we
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Par le-temps-d-une-pho, le 13.09.2014
raciste !
Par jean, le 10.09.2014
il y aura bientôt des petits minous,garde moi en un.http://quin ousse.centerbl og.net
Par quinousse, le 23.07.2014
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Par quinousse, le 23.07.2014
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RechercherUne carrière de cinq décennies et plus de 90 films ont fait de Jean Gabin l’un des acteurs les plus célèbres et les plus admirés de l’histoire du cinéma français. Dans des rôles très différents les uns des autres, de Quai des brumes à l’Affaire Dominici en passant par Touchez pas au grisbi ou le Clan des Siciliens, il est toujours parvenu à imposer sa présence à la fois séduisante et imposante à l’écran.
Né à Paris, fils de chanteurs d'opérette et de café concert, Jean-Alexis Moncorgé, dit Jean Gabin, est élevé par sa sœur aînée à Mériel, près de l'Isle-Adam (en région parisienne), puis revient à Paris au moment de la Grande Guerre. Il apparaît une première fois sur scène à quatorze ans, avant d’entrer au pensionnat. Ses études terminées, il se destine au métier de manœuvre. En 1922, il se décide pourtant à remonter sur les planches où il apprend « sur le tas » à chanter et à jouer la comédie. En 1928, il se fait connaître alors qu’il est le partenaire de Mistinguett au Moulin-Rouge.
Devenu jeune premier comique, il apparaît pour la première fois à l’écran dans un film d'opérette, Chacun sa chance (1930) de René Pujol et Hans Steinhoff. Il enchaîne la même année avec Méphisto (1930), serial de Henri Debain, Nick Winter et René Navarre, avant de tenir son premier rôle de mauvais garçon dans Paris béguin (1931) d’Augusto Genina. Il tourne ensuite dans une comédie de Jacques Tourneur, Tout ça ne vaut pas l'amour (1931), incarne un voyou dans Cœur de lilas (1931) d’Anatole Litvak, un marin dans Pour un soir (1931) de Jean Godard, un opérateur de cinéma dans Cœurs joyeux (1931) de Hans Schwartz et Max de Vaucorbeil et un mécanicien d'avion dans Gloria (1932) de Hans Brandt et Yvan Noé.
Maurice Tourneur lui confie ensuite un rôle comique dans les Gaîtés de l'escadron (1932), puis Harry Lachmann lui fait jouer un mélodrame, la Belle Marinière (1932). Jean Daumery le dirige dans la version française d’un film de Howard Hawks, La foule hurle (1932), où il reprend le personnage incarné par James Cagney dans la version américaine. Après deux films avec l’actrice Brigitte Helm, l'Étoile de Valencia (1933) de Serge de Poligny et Adieu les beaux jours (1933) de Johannes Meyer et André Beucler, il tient le premier rôle du Tunnel (1933) de Curtis Bernhardt, travaille sous la direction de Georg Wilhelm Pabst dans Du haut en bas (1933) et donne la réplique à Joséphine Baker dans Zouzou (1934) de Marc Allégret.
Il revient à Julien Duvivier d’avoir fait de Jean Gabin une véritable star du cinéma français avec, successivement, Maria Chapdelaine (1934), Golgotha (1934), la Bandera (1935), la Belle Équipe (1936), film emblématique du Front populaire dans lequel Jean Gabin dessine le personnage de prolétaire poursuivi par le destin qu’il déclinera dans de multiples films, et Pépé le Moko (1936).
Jean Gabin débute sa collaboration avec Jean Renoir par les Bas Fonds (1936), suivi par la Grande Illusion (1937) et la Bête humaine (1938), adaptation de l’œuvre d’Émile Zola. Il joue également sous la direction de Raymond Rouleau — le Messager (1937), tiré d'une pièce de Henry Bernstein qu'il admire —, Jean Grémillon — il retrouve son personnage d'homme au destin tragique dans Gueule d’amour (1937), puis il apparaît dans Remorques (1940) — et Marcel Carné — Quai des brumes (1938) et Le jour se lève (1939).
Jean Gabin tourne aussi dans le Récif de corail (1939) de Maurice Gleize. Toutefois, refusant de demeurer dans une France occupée par les Allemands, il part pour Hollywood, où il joue dans la Péniche de l’amour (Moontide, 1942) d’Archie Mayo et dans l'Imposteur (The Impostor, 1943) de Julien Duvivier. Désireux de combattre pour la France, il rejoint la 2e DB (division blindée) du général Leclerc et termine la Seconde Guerre mondiale sous l'uniforme.
À la Libération, Jean Gabin produit et interprète Martin Roumagnac (1946) de Georges Lacombe, aux côtés de sa compagne Marlène Dietrich, mais le film est un cuisant échec. Il connaît alors une période difficile, tournant néanmoins dans Miroir (1947) de Raymond Lamy, Au-delà des grilles (1948) de René Clément, la Marie du port (1950) de Marcel Carné, d'après le roman de Georges Simenon, et Pour l'amour du ciel (E piu facile che un camelo, 1950) de Luigi Zampa. Il réapparaît aussi au théâtre dans la Soif d’Henry Bernstein, et tourne dans l'adaptation d'une pièce de ce dernier, Victor (1951) de Claude Heyman.
Après un rôle de cheminot devenu aveugle dans La nuit est mon royaume (1951) de George Lacombe, Jean Gabin retrouve son énergie comique dans le Plaisir (1951) de Max Ophuls, puis revient à l'univers de Georges Simenon avec la Vérité sur Bébé Donge (1951) de Henri Decoin, reforme un couple avec Michèle Morgan dans la Minute de vérité (1952) de Jean Delannoy, séduit Sylvana Pampanini dans Fille dangereuse (Bufere, 1952) de l'Italien Guigo Brugnone, devient un truand pour Leur dernière nuit (1953) de George Lacombe et collabore pour la première fois avec Gilles Grangier dans la Vierge du Rhin (1953).
Touchez pas au grisbi (1954) de Jacques Becker et l’Air de Paris (1954) de Marcel Carné rendent à Jean Gabin sa place parmi les stars du cinéma français. Après une brève et impressionnante apparition dans Napoléon (1953) de Sacha Guitry et un rôle de capitaine dans le Port du désir (1953), film d’aventures d’Edmond T. Gréville, Jean Gabin retrouve Jean Renoir pour French Cancan (1954) et Henri Decoin pour Razzia sur la chnouf (1955).
Il est juge dans Chiens perdus sans collier (1955) de Jean Delannoy, routier dans Gas Oil (1955) de Gilles Grangier et Des gens sans importance (1955) de Henri Verneuil, restaurateur dans Voici le temps des assassins (1955) de Julien Duvivier. Il incarne un personnage de Georges Simenon dans le Sang à la tête (1956) de Gilles Grangier, un personnage de Marcel Aymé, aux cotés de Bourvil, dans la Traversée de Paris (1956) de Claude Autant-Lara et enfin un personnage de Dostoïevski dans la version de Crime et Châtiment (1956) de Georges Lampin. Il défend l'accouchement sans douleurs dans le Cas du docteur Laurent (1956) de Jean-Paul le Chanois, retrouve Gilles Grangier pour Le rouge est mis (1957) et incarne le commissaire Maigret dans Maigret tend un piège (1957) de Jean Delannoy, un personnage qu'il reprend avec le même metteur en scène dans Maigret et l’affaire Saint-Fiacre (1959), puis sous la direction de Gilles Grangier dans Maigret voit rouge (1963).
Jean Gabin incarne aussi Jean Valjean dans les Misérables (1957) de Jean-Paul Le Chanois, joue un policier insolite dans le Désordre et la nuit (1957) de Gilles Grangier et donne la réplique à Brigitte Bardot dans En cas de malheur (1958) de Claude Autant-Lara, toujours d'après Georges Simenon. Il tourne plusieurs films sous la direction de Denys de la Patellière : les Grandes Familles (1958), Rue des prairies (1959), le Tonnerre de Dieu (1965), Du rififi à Paname (1965), le Tatoué (1968), avec Louis de Funès, et le Tueur (1972).
Gilles Grangier le dirige encore dans Archimède le Clochard (1958), dont il écrit le scénario avec Michel Audiard, les Vieux de la vieille (1960), Le cave se rebiffe (1961), le Gentleman d'Epsom (1962), l'Âge ingrat (1964), qu'il produit avec Fernandel, et dans Sous le signe du taureau (1969), tandis que Jean-Paul Le Chanois le met en scène dans Monsieur (1964) et le Jardinier d'Argenteuil (1966). Jean Delannoy l’emploie dans le Baron de l'écluse (1960), toujours d'après Georges Simenon, et dans le Soleil des voyous (1967) tandis que Georges Lautner en fait encore un policier dans le Pacha (1967). Henri Verneuil lui donne Jean-Paul Belmondo comme partenaire dans Un singe en hiver (1962), puis Alain Delon dans Mélodie en sous-sol (1963) et le Clan des Siciliens (1969), avant que Pierre Granier-Deferre le mette en scène dans la Horse (1970) et dans le Chat (1971), d'après Georges Simenon, avec Simone Signoret comme partenaire.
Désormais âgé, Jean Gabin apparaît encore dans Le drapeau noir flotte au-dessus de la marmite (1971) de Michel Audiard, l’Affaire Dominici (1973) de Claude Bernard-Aubert, Deux hommes dans la ville (1973) de José Giovanni et Verdict (1974) d’André Cayatte. L’Année sainte (1976) de Jean Girault est son dernier film.
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Jean Gabin !!! en voyou ou en patriarche !!! quel homme !!!
http://yvelinesylvain.centerblog.net
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